Le Phosphore Milharsais

bénévolat et convivialité Milharsaise, le "bar associatif " a ouvert ses volets

13 Septembre 2014 , Rédigé par BARRAU Jean-Pierre

Le Bar Associatif.

Comme on entend souvent dire « il y a trop d’associations à Milhars » et que toute création nouvelle va diminuer leur intérêt et disperser le peu de bénévolat qui reste, il me parait intéressant de jeter un coup de projecteur sur le bar associatif, issu d’une jeune et atypique association locale qui arrive dans sa cinquième année d’existence, pour savoir où elle en est, si elle est parvenue à prendre sa place dans la vie communale et plus précisément quelle place ?

- A RETRO SUR L’ANNEE 2009 – BREF RETOUR à L’HISTOIRE

Le bar associatif est né de la réflexion menée par la commission municipale du développement qui a abouti en 2009 à la création de l’association « la croix d’Alric », porteuse du projet, présenté par ses membres fondateurs dans la petite salle des associations, en réunion publique le 11 avril 2009. Son inauguration, dans les locaux de l’ancienne boulangerie s’est produite courant juin 2009.

Voilà ce que j’écrivais à l’époque sur le Bulletin d’information municipal.

« La nécessité de créer et de voir fonctionner principalement en hiver, un lieu de convivialité, d’échanges et de rencontre est un besoin qui remonte souvent aux oreilles des élus. Suite à la réflexion menée, la commission municipale du développement est à l’origine de la création d’une nouvelle association qui fera fonctionner « un bar associatif ». Les locaux utilisés devraient être ceux de l’ancienne boulangerie. Une réunion publique permettra aux membres fondateurs de présenter leur projet et de faire un appel à adhérents pour étoffer le groupe, le 11 avril 2009 à la salle des associations ».

Cette année 2009, avait été fortement marquée par les dégâts causés par la tempête «KLAUSS», les 23 et 24 janvier. Elle avait détruit par la crue décennale déclenchée la route de la rivière, du Pont, à Lestel, et elle avait privé d’eau potable la Commune durant plusieurs jours.

Cette année 2009 s’était caractérisée également par de fortes et nombreuses initiatives associatives que je rappellerais :

-Création de la soirée CINEMA.

-Plantation du Verger Communal, février 2009 à l’initiative du groupe du fleurissement.

-Création et organisation en février de la première fête de l’osier par le groupe du fleurissement..

-Première année d’exposition au Tinal à l'initiative de l'association MIARS, avec les thèmes suivants : Histoire des bâtiments publics de Milhars, les pigeonniers de Midi-Pyrénées et du pays de Vaour, les chauves souris de Midi-Pyrénées et du pays de Vaour, les moulins de Milhars et des seigneurs de Milhars, la vigne autrefois à Milhars.

La municipalité cette année là, avait également été à l’origine de nombreuses initiatives :

- réalisation du Hangar municipal.

- équipement de la commune en haut débit (KIWI).

- inscription de la Commune aux plus beaux villages de France.

- création de la journée d’accueil.

Enfin je conclurai le rétro sur cette année 2009, par les propos écrits durant l’automne par Robert MOLINIER et GARRIGUE René, qui nous rappelaient les mystères et le charme de la vallée du Bonnan, suite au déracinement d’un arbre remarquable, érable de plus de 200ans, déracinement provoqué par de fortes bourrasques du vent d’autan.

« Sous le charme du charme »

« En cet automne 2009, au fond de la « vallée de Bonnan » le vieil arbre à fini par mourir et tomber, emportant avec lui son histoire, et un peu celle de la vallée. Combien de paysans, de promeneurs, de travailleurs a t’il protégé de sa ramure majestueuse ?...

En hiver, printemps été ou en automne, senteurs et couleurs, Bonnan offrira toujours des sensations de bonheur »

Garrigue René - Molinier Robert.

- B PIONNIERS et FONDAMENTAUX du BAR ASSOCIATIF

I la création et les pionniers

Nous devons l’existence de cette structure à la forte implication bénévole d’un certain nombre de Milharsaises et de Milharsais, qui il y a 5 ans déjà, à partir d’une motivation commune, ont associé leurs ressources intellectuelles et physiques pour la créer et la faire fonctionner.

-Ils ont d’abord trouvé un local pour fonctionner et là un grand merci à SIEUWKE pour avoir mis à disposition de l’association des locaux privés qui lui appartenaient.

-Ils ont ensuite fait le choix d’une structure juridique qui porterait le projet et ils ont opté pour une structure associative, dans laquelle le bénévolat et le but non lucratif constituaient les deux piliers de base. Cette association a été enregistrée sous le nom de la "CROIX d’ALRIC," du nom donné à la croix en pierre située à proximité des locaux, au carrefour stratégique du centre bourg entre la Départementale 600 et les routes communales de Carguemietche et de Bonnan.

-Puis ils ont investi leur temps et quelquefois même leur argent pour aménager les locaux et trouver les appareils qui leur permettraient de lancer une petite activité de restauration. En particulier, ils ont transformé la salle du rez-de-chaussée de la maison (ancienne pièce de vente de la boulangerie) en créant une partie bar et une partie salle de restauration et ils ont aménagé une terrasse extérieure.

-Enfin ils ont inventé et expérimenté une première organisation du fonctionnement : calendrier des activités proposées, calendrier des heures d’ouverture, organisation des différentes tâches matérielles, et très rapidement choix du recrutement d’un demi emploi de salarié pour venir en aide à la structure.

Grand merci à HARRY et CONNY, à MICHEL et MICHOU, à ALAIN et CHRISTINE, à ROBERT et SOLANGE, à GISOU et à tous les autres pionniers de cette association qui de près ou de loin ont mis la main à la patte durant ces premièrs jours pour en démarrer son fonctionnement et tout cela sans aucune aide financière d’appui..

II les fondamentaux du Bar associatif, ses piliers de base

Le cadre de son fonctionnement, les activités proposées, leur programmation, et surtout l’engagement des adhérents dans leur participation donne à la fois l’esprit et quelque part justifie l’existence du bar associatif. Quels sont ces fondamentaux ?

- une structure juridique associative : Elle n’a pas de but lucratif, ne recherchant pas les bénéfices et permettant ainsi l’accessibilité au plus grand nombre, sans la contrainte de l’argent. Ce n’est donc pas une entreprise commerciale, mais les services proposés ne sont pas gratuits non plus, car il faut bien qu’elle puisse fonctionner et donc payer ses dépenses, achat de denrées alimentaires, paye de l’ employé (un demi emploi de salarié) et modernisation et maintenance de ses appareils, électricité, chauffage, et ce d’autant qu’elle ne bénéficie d’aucune subvention publique.

- un fonctionnement sur toute l’année, y compris l’hiver, ce qui la rend utilisable en continuité par les habitants permanents de la Commune, mais aussi occasionnellement l’été par les saisonniers durant leur séjour sur la commune.

-un fonctionnement avec des services hebdomadaires, donc toutes les semaines, services essentiellement centrés sur les activités buvette et restauration. « Restaurant » serait un bien grand mot pour la définir, cantine lui convient mieux, et cela me rappelle fortement ce que j’ai connu à Milhars quand j’étais très jeune, mais qui relevait d’une initiative privée, «la pension restauration » implantée au café-restaurant DURAND, avec ses habitués de l’époque, Monsieur Lemaître, Gaston Laveyrie.... .

-Un service bar, avec une activité buvette qui ne délivre que des boissons non alcoolisées ou des glaces. Restant dans la légalité administrative imposée, puisque l’association n’est pas dépositaire de la licence IV elle ne délivre pas de boisson alcoolisée et se limite à des rafraîchissements. Cette activité permet l’accueil des touristes de passage en été et est associée à un service de distribution de livres le jeudi, initié par la médiathèque de Vaour ainsi qu’à la mise à dispositions d’une borne internet.

-une activité centrale de restauration : Il ne s’agit pas de proposer de la très grande cuisine, mais de participer au partage de ce qu’on appelle les plaisirs de la table, plaisirs qui sont de trois types au bar associatif :

* plaisir de la belle table : La présentation en est toujours réalisée avec soin. Elle est toujours très accueillante grâce à l’attention et aux efforts apportés par les responsables pour sa décoration et son fleurissement (toujours en rapport avec les couleurs et les végétaux de saison.).

* plaisir de la bonne table : Qui propose une nourriture de saison et de terroir, des plats simples et équilibrés, arrosés à volonté, mais sans exagérer tout de même. Ce repas se compose de trois plats le jeudi et d’un repas plus léger le vendredi à base de soupe ou d’assiette de crudités, suivit quelquefois pour ceux qui le souhaitent d’une partie de cartes.

*plaisir de l’ambiance de la table : Les échanges autour de la table sont multiples tout le monde y va de son sujet et de son point de vue, les bavards un peu plus que les autres bien sûr comme toujours. Ces échanges sont essentiels car ils transforment et transcendent en quelque sorte le repas, en font un moment de la semaine et de la journée déconnecté du quotidien et souvent revivifient les organismes et le moral de chacun. Nous savons tous selon la célèbre formule qu’on est bien chez soi, mais il ne faut pas exagérer car le renfermement sur soi et l’isolation peuvent s’avérer néfastes. Dans ce domaine, la Croix D’Alric n’a rien inventé, car cet objectif est aussi poursuivi par d’autres associations locales, mais au bar associatif l’échange et l’écoute de l’autre c’est la priorité.

-Des activités annexes qui viennent se greffer en supplément sur les deux activités traditionnelles exposées ci-dessus et qui peuvent varier : Ont fonctionné :

* des repas à thème : sardinade, moules frites, fruits de mer, tripous …

* des soirées à thème, avec discussion, débats, lancement pour la promotion d’un livre…

Je ferais ici une proposition inédite à ses administrateurs, celle d’essayer de monter dans le cadre des soirées à thème, pour la période du 15sepembre au 15 octobre,« une sardinade au brame du cerf »… , puisque durant cette période nous avons le privilège de pouvoir en bénéficier.

-C QUELQUES REPERES DE L’AMBIANCE AU BAR ASSOCIATIF.

- D’abord quelques situations ALRICIENNES (adjectif issu du nom du graveur de la croix du même nom, ayant donné son nom à l’association), situation spécifiques au bar associatif:

* La java bleue de Michel , Premier couplet, avec ses 3 premières phrases :

C’est la java bleu, la java la plus belle, celle qui ensorcelle …,

L’’évocation chantée de ces 3 premières phrases suffisent, et créent un réflexe pavlovien de groupe qui fait que tout le monde sachant ce que ça veut dire se tait. C’est un signal sonore et codé qui est un ordre demandé à tous, pour l’intérêt général, d’ arrêter les propos qui émanent d’une conversation de désaccord, gênants, inappropriés, et sans issue qui plombent l’ambiance et l’atmosphère. Cette java bleue sanctionne souvent des débuts de jugements politiciens et fixe la limite à ne pas franchir, espèce de halte au feu avant que les choses ne s’enveniment. Les incendiaires sont avertis d’arrêter le feu tout de suite. Et surprise, ça marche! Disciplinés, attentifs, les contestataires en désaccord, collaborent et n’insistent pas. On remettra ça à une autre fois.

*Les parties de boules d’Alain, du prénom de celui qui a créé,

volontairement ou involontairement ce moment particulier, moment appelé encore « les 5 minutes du docteur « cyclopède », du nom de la célèbre émission de télé légèrement fol-dingue.

Ce moment se situé en fin de repas, plus exactement au dessert. Il a un effet systématique sur le niveau sonore de la soirée et sur l’agitation des adhérents qui monte d’un cran. Qu’est ce qui le produit ? Il s’agit d’ une série de bugs qui interviennent entre l’annonce des possibilités du choix des glaces, ou du non choix d’ailleurs, de leurs parfum(8 au total) et de leur quantité qui se définie en nombre de boules, jusqu’à 3 possibles(d’où le nom donné à la partie de boules), l’enregistrement de la commande, l’ inscription du choix individuel sur une fiche de commande après redite des possibilités existantes, et le service rendu de cette commande c'est-à-dire la distribution à chacune et chacun de ce qu’il a commandé. Le tout est animé par le très professionnel et très expérimenté serveur, Alain.

On vit là un moment de brouhaha anarchique intense, alors que le début du repas qui précède est parfaitement huilé et sans contestation possible, là pour exagérer c’est souvent la foire, mélange d’indiscipline, d’inexpérience, de surdité, de perte de mémoire, d’incompréhension(quelquefois recherchée !) illustrant bien ce que les enseignants maîtrisent en général, le long chemin qu’il y a entre l’annonce et sa concrétisation, avec la nécessité pour aboutir de faire preuve de persévérance et de pédagogie.

* les assiettes surprises de Annick .

Annick est le prénom de la personne qui est à l’origine de leur conception qui consiste à une réunion inédite, non traditionnelle, de couleurs, de formes, de mélange et de saveurs dans un même plat, Ce sont des assiette au contenu dont la composition est toujours très originale, pour ne pas dire surprenante même quelquefois. Pour certains , pas forcément fin gourmets mais qui restent curieux, elles nécessitent d’aller demander quels en sont les composants, au risque de passer pour des incultes ne sachant pas ce qu’ils mangent. Force est de constater en voyant ce qui reste du contenu de l'assiette à la fin du repas qu' elles sont très appréciées et on s’habitue assez bien au brin de …, à la touche de … à la forme modifiée de…. au mélange de …..à la variété particulière de ….

* les débats sur la société alternative de Lionel, soirées à thème ou encore soirées repères !

Je fais partie de ceux qui ont défendu et défendent toujours l’organisation et la

promotion dans le cadre de l’activité du bar associatif des soirées dont Lionel a été l’inspirateur.

Il n’a jamais été demandé aux participants d’adhérer aux thèses présentées à l’occasion des différentes interventions programmées des soirées à thème et de s’aligner sur le discours entendu ; seulement l’entendre, en débattre, exprimer éventuellement son désaccord, donc de garder et de conforter ses repères.

Débattre c’est penser, réfléchir, comparer, analyser, et ces moments sont des moments privilégiés pour faire travailler et donc lutter mécaniquement contre le vieillissement de son cerveau et surtout intellectuellement c’est rester ouvert, c’est s’approprier un peu plus le monde qui change, l’évolution de la vie, et éviter de s’enfermer dans les certitudes de la pensée unique et de l’ordre établi, qui chaque jour sont remis en cause.

Il y aura toujours ceux qui diabolisent, qui promettent les flammes de l’enfer, surtoutquant le pavé est jeté dans le jardin du conformisme ou des réseaux établis, je veux dire ceux qui qualifient de fouteurs de merde ou encore de créateurs de zizanie ceux qui ne pensent pas comme eux. Je fais partie de cette génération rurale, qui comme beaucoup d’autres, peut prendre la parole en public, qui peut exprimer ses propres arguments contradictoires sans agressivité et qui ne modifie pas sa sensibilité ou sa croyance dans un domaine à partir du premier prêche partisan venu, je dirai souvent au contraire cela ne fait que conforter mes repères.

Je plaide donc auprès des administrateurs de l’association pour qu’ils conservent cette initiative unique sur notre territoire, cette initiative citoyenne sans soumission à une sensibilité politique ou une religion, cette initiative inter- active, à mes yeux, porteuse de démocratie locale.

-Quelques moments privilégiés ensuite en lien direct avec la vie locale, vie familiale, ou évènements locaux.

:L'un des moments les plus chaleureux est celui qui est consacré à fêter l'anniversaire d'un des adhérents, à la fin d'un repas : partage du gâteau, du verre de pétillant, accompagné tout d'abord par le classique couplet du "joyeux anniversaire" suivi le plus souvent des trois couplets de l'incontournable"rossignol de mes amours". Durant les vacances scolaires, il n'est pas rare de voir le groupe des clients habituels s'étoffer de la présence de leurs enfants et petits enfants. Le lien avec les nouvelles générations est ainsi préservé et on fête alors la réussite aux études de certains, ou les nouvelles naissances pour d'autres. Quelquefois même on y découvre de nouveaux talents, comme à l'occasion de cette inoubliable soirée de "FADO", à l'initiative des petits enfants de Nelly et de Jacques.

Enfin deux fois par semaine, c'est l'un des sièges de notre chaîne de télé locale, le papotons local. Aucun ordre du jour à respecter, mais la météo, les champignons, le jardinage, les petits soucis des uns et des autres, la pêche, la chasse, les chiens, tout y passe, avec même quelquefois une évocation de l'art de l'histoire et de la philosophie.

-Une vitrine du monde rural et de ses habitants pour visiteurs et touristes utilisateurs du bar

(à rédiger)

-D PERSPECTIVES

En ce qui me concerne, mais les avis qui parviendront sur ce blog témoigneront peut-être de positions différentes,

en tant qu'adhérent de la première heure et adhérent comblé, je ne peux que souhaiter longue vie, continuité et succès à cette structure, complémentaire des structures associatives locales existantes, ouverte à tous, créée, mise en place et développée dans un fonctionnement en proximité au bourg toute l’année, sur les bases d’une convivialité partagée, permettant de lutter contre l’isolement et le repli sur soi.

Le bar associatif avait reçu un accueil dirons nous mitigé il y a 5 ans, mais force est de constater qu'aujourd'hui c'est un succès, puisqu'il fonctionne sur une base d'une trentaine de familles clientes, assidues sur l'année, auxquelles, en fonction de l'époque s'ajoutent quelques clients occasionnels.

Conserver ses marqueurs de base, ne pas trahir son âme au nom de je ne sais quel prétexte, évoluer et s’adapter à de nouveaux besoins, à de nouveaux publics avec de nouveaux horaires peut-être, tout en préservant la spontanéité, la diversité et l’authenticité locale, bref, rester ce maillon incontournable du "vivre ensemble" Milharsais auquel il est parvenu de nos jours, telles seront mes vœux les plus chers pour l’équipe des responsables..

Vive le bar associatif.

.Nouveauté du deuxième semestre 2014.

Dans la rubrique"si vous avez des problèmes, parlez en à votre docteur", le bar associatif est heureux de vous proposer les conseils gratuits de son consultant médical, professionnel de très haut niveau de compétences, du nom de Doc Gynéco.

Sans rendez-vous, ni consultation, ni ordonnance, ni tiers payant, toute incertitude ou interrogation concernant en particulier l'influence de l'âge sur la sexualité ou sur l'évolution inattendue des systèmes pileux ou glandulaires, peuvent immédiatement être levées, avec un porter à connaissance pour l'ensemble des adhérents des derniers savoirs de la science dans ces domaines. Merci de rassurer tout le monde, et d'évacuer dans la bonne humeur tous ces problèmes.

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G
L'analyse de Jean Pierre est tout près de la réalité.J'ajouterai que je suggère de demander,par l'intermédiaire de René ,que le mot Alricienne soit inscrit dans le Larousse ,ou autre Robert...... En cas de refus,a envisager tout de même,créer un dictionnaire Milharsais. Nous devrions trouver quelques mots déjà usités.<br /> Pour soutenir et encourager l'équipe dirigeante et agissante actuelle,dont je ne fais pas partie, que ceux qui n'osent franchir la porte le fassent.C'est plus facile l'été,il y a juste une toute petite marche a monter et on n'est pas oblige de revenir .<br /> Pour élargir le panel des activités éventuelles j'ai cru entendre que quelques sorties mycologiques seraient les bienvenues. En dehors de la période brame s'entend. Mais est ce que je rêve?<br /> De tout coeur avec vous pour continuer et élargir l'aventure.
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B
En tant que nouvel habitant de MILHARS, je tiens simplement à dire que ce point de rencontre extraordinaire me permet d'avoir l'impression d'avoir une nouvelle famille !<br /> Un grand merci à ses créateurs, ses bénévoles et à tous ses fidèles &quot;clients&quot; que j'ai toujours un immense plaisir à retrouver.....<br /> Marc Barret.<br /> Place du Ravelin.
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J
Permets-moi de considérer qu'un nouvel habitant de Milhars est un Milharsais de plein droit et de plein exercice, aussi ton témoignage est celui d'un client Milharsais du bar associatif, et il est à mettre au crédit de cette structure puisque tu utilise à son égard des mots forts et positifs comme point de rencontre, ou encore deuxième famille. A bientôt.